Napoléon Bonaparte est né dans l'île de la Corse le 15 août 1769. Ses parents ont été Charles Bonaparte et Marie Ramolino. Il a suivi la carrière militaire dans la spécialité d'artillerie. Dans la Révolution Française il a été à la tête de la reconquête de Toulon en 1793, par ce qu'il a été nommé général de brigade. Durant le Directoire, il a vaincu les autrichiens dans les batailles Lodi, Arcola et Rivoli.

Le 9 novembre 1799 il a donné un coup d'État et a instauré le Consulat. Peu de temps après lui proclamé premier consul. En 1804, il s'est déclaré Empereur et a cherché à prendre le contrôle de toute l'Europe. Dans cette étape il a envahi beaucoup de pays et a obtenu de grandes victoires, comme dans les batailles Austerlitz (1805), Iéna (1806) et Friedland (1807). Mais ses campagnes en Russie et en Espagne ont été grands échecs. 

Le 19 octobre 1813, Napoléon a été défait à Leipzig par une coalition dirigée par l'Angleterre. Puis il a été exilé sur l'île d'Elbe ( 05-04-1814 ) . Mais en mars 1815, il rentre en France et a formé une nouvelle armée. Cependant, une autre coalition dirigée par l'Angleterre l'a battu finalement dans la bataille de Waterloo le 18 juin 1815. Napoléon a été capturé et porté à l'île Sainte Elena (l'Océan Atlantique), où il est mort le 5 mai 1821.

« On retrouvait, de plus, chez lui, la plupart des symptômes que nous plaçons sous la dépendance de la cholémie familiale : c’est ainsi qu’il eut, entre vingt et trente ans, de profonds accès d’hypocondrie ; il était, à certains moments, en proie à des crises dyspeptiques violentes ; il avait du prurit, et le diagnostic de gale pourrait bien avoir été erroné ; il était sujet aux somnolences ; enfin, sa brachycardie (pouls lent permanent) trouverait ainsi une explication assez naturelle. Sans entrer dans la discussion de la maladie qui l’emporta, sans insister sur divers arguments que nous pourrions tirer de la santé de ses frères, ou de leurs descendants, nous croyons avoir suffisamment justifié le diagnostic rétrospectif de cholémie simple familiale. »

Le général Lamarque: Souvenirs et mémoires (1835)